7 façons de rendre le sport positif et gratifiant

girls and coach before basketball game on bleachers hands in circle

Des entraîneurs hystériques. Des parents insistants. Parfois, au milieu de tout ce bruit, il est difficile de se rappeler que les athlètes adolescents jouent un match. Et le sport est censé être amusant, non ?

Si vous êtes comme la plupart des parents, vous avez de nombreuses bonnes raisons de vouloir que votre adolescent fasse partie d’une équipe.

Les avantages de la pratique du sport

Près de 90 % des parents interrogés ont déclaré que le sport aidait leurs enfants à rester en bonne santé, tandis que 81 % ont affirmé que le sport inculquait la discipline à leurs enfants.

En fait, les adolescents sportifs ont tendance à être en bonne forme physique, à rester occupés et à éviter les problèmes.

Mais les avantages de la pratique du sport sont encore plus larges. Les adolescents sportifs sont moins susceptibles de fumer ou de prendre des drogues illégales. Les taux de grossesse et de suicide chez les adolescents sont plus faibles chez les athlètes, tandis que les niveaux d’estime de soi sont plus élevés.

Les avantages se manifestent également en classe. Selon plusieurs études, les adolescents qui pratiquent un sport ou d’autres activités extrascolaires sont plus aptes à se fixer des objectifs et à gérer leur temps.

Lorsque vous regardez les enfants qui font du sport, ce sont généralement ceux qui réussissent le mieux à l’école. Ils ont un meilleur sens de la gestion du temps parce qu’ils se disent : « Je dois être à l’entraînement de 16 heures à 18 heures, donc si je veux être au lit à 22 heures, cela me laisse quatre heures pour faire mes devoirs ».

7 conseils pour que le sport des adolescents reste positif

Malgré ces avantages, les recherches montrent que jusqu’à 70 % des adolescents abandonnent le sport au moment de l’adolescence, principalement parce qu’ils ne s’amusent plus. Que votre adolescent soit un joueur occasionnel ou qu’il ait des rêves de compétition, vous pouvez faire en sorte que son expérience sportive soit positive, même si chaque saison n’est pas parfaite.

1. Évitez les propos négatifs.

Naturellement, l’expérience sportive de votre adolescent sera un sujet de conversation, mais faites attention à votre approche.

Qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, n’oubliez pas de dire à vos adolescents que vous aimez les regarder jouer et que leurs performances n’affectent pas vos sentiments à leur égard. Posez des questions ouvertes telles que « Quel a été le meilleur moment du match pour toi ? » plutôt que « Pourquoi n’as-tu pas lancé sur la seconde base ? ». N’oubliez pas que vous ne faites pas que parler de sport ; vous construisez une relation solide.

2. Partagez vos valeurs.

Dans le feu de l’action, lorsqu’un entraîneur perd le contrôle ou que le parent d’un coéquipier oublie d’agir comme un adulte, donnez l’exemple et conseillez à votre adolescent de se souvenir de vos valeurs familiales sur le terrain.

3. Traitez avec l’entraîneur.

Certains athlètes adolescents passent plus de temps avec leur entraîneur qu’avec leur famille, donc trouver quelqu’un qui soit un bon modèle est essentiel. Avoir un coach positif est un cadeau. Mais si l’entraîneur a des défauts, considérez cela aussi comme une expérience de vie précieuse, car vous pouvez aider votre enfant à développer des stratégies pour faire face à des personnes difficiles à gérer.

4. Restez en dehors de la mêlée.

Si votre adolescent se dispute avec un coéquipier, un autre parent ou un entraîneur, réfléchissez à des stratégies pour résoudre le conflit, mais si possible, laissez-le s’en occuper, sauf si votre enfant est dans une situation toxique.

Encouragez votre enfant à se faire son propre avocat auprès de l’entraîneur. S’il n’a pas assez de temps de jeu ou s’il n’est pas satisfait de son poste, encouragez-le à demander à son entraîneur de lui exposer ses attentes. Faites des jeux de rôle avec votre enfant pour élaborer des scénarios potentiels. Aidez-le à se fixer des objectifs réalisables, comme garder une attitude positive et travailler dur à l’entraînement.

5. Soutenez-les .

Soutenez-les et ne les jugez pas. Partez du principe qu’ils font toujours de leur mieux.

Et à moins que vous ne soyez réellement l’entraîneur de votre adolescent, contentez-vous d’être son plus grand fan. Applaudissez et encouragez, mais n’offrez pas de directives – cela peut parfois entrer en conflit avec la stratégie de l’entraîneur. N’oubliez pas que c’est leur jeu, pas le vôtre.

6. Écoutez votre adolescent.

Ne forcez pas votre adolescent à pratiquer un sport qu’il n’aime plus. La motivation pour jouer doit venir de l’intérieur. Même si votre athlète est prometteur, le fait de le forcer à pratiquer un sport qu’il déteste ou à rester avec un entraîneur difficile l’aidera rarement à obtenir la bourse que vous êtes sûr qu’il mérite.

On connait tous le vieux dicton « N’abandonnez jamais », mais si votre adolescent s’est rendu compte qu’il n’est pas d’accord avec la philosophie de vie d’un entraîneur, il est temps de s’éloigner. C’est plus important pour la santé mentale. Si un adolescent n’est pas heureux de pratiquer un sport, les parents doivent respecter cela.

7. Trouvez le sport qui lui correspond.

Peut-être que la coordination main-œil n’est pas le point fort de votre adolescent ou qu’il n’est pas du genre à pratiquer un sport d’équipe. Vous pouvez toujours l’encourager à pratiquer des sports comme l’escrime, le tennis, l’aviron ou le squash…

Votre objectif devrait être que votre jeune adolescent apprécie ce qu’il fait, participe sans se blesser et établisse de bons rapports avec ses coéquipiers. Il faut voir cela de manière plus globale que le simple fait de faire du sport. Cela devrait être une partie de leur croissance, pas la seule chose sur laquelle ils se concentrent.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *